Voici un petit sondage purement informel (pour tester l'outil). Si ça marche, ce sera le premier d'une longue série. Pour vous remercier de votre réponse, j'offre un magnet smoothie gratuit aux 10 premiers qui répondront 😉
MAJ : merci à celles et ceux qui ont répondu j'envoie les magnets la semaine prochaine 🙂
(pour information, le résultat est 2,8 livres lus par mois en moyenne, ce qui n'est pas mal du tout)
Hier, dans l'émisssion "on n'est pas que des parents", sur France5, Grégory Poitier a construit sa chronique sur ce qu'il définit comme une nouvelle tendance : les livres de développement personnel pour les hommes ; ce qui m'a donné l'occasion de présenter le livre de Robert Greene, POWER les 48 lois du pouvoir et accessoirement de faire ma première apparition à la télé…
C'est étonnant les raccourcis que permet le montage 😉
Un grand bravo aux jeunes diplômées et diplômés du mastère d'édition ESCP-EAP qui, je viens de l'apprendre va désormais s'appeler ESCP-Europe. J'en profite bien entendu pour féliciter les étudiants des autres masteres mais comme je ne les connais pas… 😉
L'info nous vient de TechCruch ; aux USA, l'usage de twitter augmente de manière exponentielle et la courbe va probablement suivre la même tendance en France…
Pour ceux qui veulent mieux comprendre twitter, Lilan Mahoukou nous fait découvrir sur son blog une caricature en vidéo :
Gratuit ne signifie pas nécessairement sans contrepartie et ces images sont pour la plupart sous licence creative commons. Le principe en est simple : oui au partage à la condition d'en attribuer la paternité.
Connaissez-vous le régime tahiti ? C’est un régime superprotéiné amélioré, plus riche en vitamines et en
saveurs que les autres, amusant et COURT. Pas de lassitude, pas de
frustration mais surtout, c'est un livre plein de soleil qui paraîtra en mai.
Comme il n'existe que peu d'infos sur le net au sujet de ce régime, j'ai demandé à Elisa, notre désormais blogueuse en chef 😉 de remplir un blog sur le régime tahiti, la polynésie en général, sa culture, etc.
J'espère que cela vous passionnera tout comme moi 🙂
Au fait, lors de la séance de signature de Sophie Vouzelaud au salon du livre,
nous avons eu le plaisir de faire la connaissance de Philippe Binet,
correspondant de la Dépêche de Tahiti à Paris. Si les nouvelles locales
à plusieurs milliers de kilomètres vous intéressent, je vous invite à
consulter leur site.
Oui, les cosmétiques, c'est du sérieux mais en même temps, on peut les pratiquer d'une manière un peu plus souriante. C'est ce que proposent Marie Bousquet et Christie Vanbremeersch, toutes deux blogueuses qui se sont réunies pour signer un premier livre, paru en octobre, Mes petits cadeaux cosmétiques bio.
Elles vous proposent de partager votre expérience de "cadeaux cosmétiques bio" sur un nouveau blog http://vanb.typepad.com/cosmetiquebio/… Une belle occasion d'échanger vos impressions autour des cosmétiques "faits maison".
Comme le dit si bien Christie : "a blog is born" 😉
Me voici donc en Asie, chez aujourdhui.com où j'ai assisté à la fin du tournage d'une série de vidéos pour le coaching en ligne de Julie Imperiali. (En savoir plus sur le blog de Fabrice Boutain)
On entend beaucoup parler de Julie depuis que les médias se sont intéressés aux résultats obtenus par l'un de ses plus illustres clients, Nicolas Sarkozy.
J'ai pu admirer le travail de l'équipe Anxa ainsi que le courage et le professionnalisme de Julie Imperiali qui a su affronter avec un sourire inoxydable ces journées de travail intensif. Peut-être que le regard bienveillant de Marc, son mari, y était pour quelque chose 😉
Cela étant fait (et après une semaine de vacances bien méritées), Julie Imperiali va pouvoir se consacrer pleinement à la rédaction de son livre qui paraîtra en septembre prochain, aux éditions Leduc.s évidemment.
Steve Jobs : un grand bonhomme qui nous raconte son histoire à l'occasion d'une remise de diplômes à Stanford le 14 juin 2005. C'est en anglais donc je vous résume son histoire ou plutôt les trois histoires de sa vie :
La première est celle d'un jeune étudiant désargenté et affamé. Il raconte qu'il était capable de traverser la ville pour profiter d'un repas gratuit au temple Hare Krishna. Il prit la décisions de ne pas poursuivre ses études et il ne fut jamais diplômé. N'ayant plus besoin de suivre les cours obligatoires, il passa du temps à suivre un cours de calligraphie et typographie qui le fascina. Des années plus tard, c'est ce qui le poussa à faire en sorte que le Macintosh soit le premier ordinateur avec de belles typographies.
Les deux événements n'ont pas de lien apparent mais pour Steve Jobs, cela a un sens et c'est ce qu'il appelle "connecter les points" ; on ne peut savoir à l'avance ce qui va se passer mais il faut avoir la foi et la croyance en un destin, une destinée, un karma, etc.
La deuxième histoire est à propos d'amour et de perte ; la chance d'avoir su tôt dans la vie ce qu'il aime, d'avoir créé Apple dans le garage de ses parents à l'âge de 20 ans. Au bout de 10 ans, la réussite est totale, 2 milliards de dollars de CA, 4000 employés et un chef-d'œuvre : le Macintosh.
Et là, il est viré. Sur le moment, il ne comprend pas mais avec recul, il pense que c'est sans doute la meilleure chose qui lui soit arrivé ; libéré de la pesanteur de la réussite, il a pu connaître la légèreté de débuter à nouveau : démarrer NeXT, Pixar et surtout fonder sa famille. La potion était amère et parfois la vie vous balance "une brique dans la tête". Mais ce qui l'a sauvé c'est qu'il adore ce qu'il fait. Il faut trouver ce qu'on aime, ne jamais cesser de chercher jusqu'à ce qu'on le trouve.
La troisième histoire parle de mort. Lorsqu'il prononce ce discours, Steve Jobs raconte qu'on lui a diagnostiqué un cancer du pancréas un an plutôt. Les médecins lui conseillent de mettre ses affaires en ordre, ce qui signifie : "préparez-vous à mourir, préparez vos adieux". Lorsqu'il prononce ce discours, Steve Jobs qui espère être tiré d'affaire pour quelques années nous rappelle que notre temps est trop limité pour le perdre à vivre la vie de quelqu'un d'autre et l'importance du choix de vivre selon notre cœur et nos intuitions. C'est sans doute là son message le plus intéressant car il parle de la mort comme de ce qui donne la valeur de la vie.
Steve Jobs nous transmets un message d'adieu qui était celui du dernier numéro d'une revue des années 60/70 et ce message est : Stay Hungry, Stay Foolish que l'on pourrait traduire par "Soyez insatiables, soyez fous".